Comte Zéro

Divulgâchage : Pour Turner, cette mission d’exfiltration d’un cadre de Maas Biolab fait partie de la routine de son boulot de mercenaire. Et il est le meilleur dans sa partie…

Couverture - Comte Zéro

Au même moment, en Europe Marly, une galeriste d’art ruinée reçoit une étrange proposition du multimilliardaire Josef Virek : découvrir l’origine de mystérieux coffrets dont le style ressemble à celui de l’artiste qui a causé sa perte…

Quant à Bobby, un hacker qui se fait appeler Comte Zéro, il voit son ultime heure venue. Son dernier casse informatique a mal tourné : le système qu’il croyait pirater est en train de le tuer…

Trois êtres que tout sépare, mais que le cyberspace va réunir dans une course contre la montre dont l’enjeu est… la domination du monde ! Mais quel monde : le réel ou le virtuel ?

Par William Gibson, traduit par Jean Bonnefoy, paru chez La Découverte en 1986 (ISBN 2707116203) et chez J’ai lu (ISBN 9782290311264).

Arsouyes’ opinion

😡 tbowan

Se déroulant quelques années après Neuromancien, Gibson nous propose une nouvelle histoire dans son univers cyberpunk qui lui avait tant réussi un an et demi auparavant.

Par nouvelle histoire, il faut entendre un remake du précédent. Car Comte Zéro, à un renommage près, raconte la même histoire que son prédécesseur…

Le style n’a pas changé, toujours aussi haché et décousu qui rend le tout plutôt difficile à lire. Certains événement sont tout sauf clair au point qu’on se demande quel est le péril que les héros tente autant d’éviter.

Plutôt qu’un groupe unique qu’on suit du début à la fin, cette fois, ce sont trois héros, tout aussi impuissants et ballotés par les circonstances jusqu’à ce que leurs destins se rejoignent dans un dénouement final, toujours en happy end qui vient, encore une fois, briser l’ambiance.

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